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En 2040, près d’une personne sur trois aura plus de 60 ans en France. Face au vieillissement accéléré de la population européenne, les métiers du soin et de l’accompagnement deviennent toujours plus essentiels.
Les conductrices et conducteurs de taxis conventionnés ont jusqu’au 1er février pour signer la nouvelle convention, qui les lie à l’Assurance maladie. Certaines mesures, comme le nouveau système tarifaire, sont encore floues. Ils dénoncent un article qui ne prend pas en compte le bien-être des patients et craignent pour leurs rémunérations.
Souvent citée en exemple en matière de retraite, la Suède se targue de posséder un modèle soutenable pour ses finances publiques. Pourtant, ce système se révèle peu à peu inégalitaire et pénalisant, notamment pour les femmes avec des parcours professionnels morcelés.
En Allemagne, 83% des plus de 67 ans ayant un emploi occupent un minijob, un type de contrat court. Alors que les agences d’intérim vantent les avantages de les cumuler à la pension de retraite, cette transformation du marché de l’emploi des seniors conduit à une précarisation des personnes âgées.
Tandis que le nombre de retraités s’accroît au fil des années, le nombre d’auxiliaires de vie, lui, ne suit pas la tendance. Alors que la santé du secteur est en péril, le métier prouve son caractère essentiel à la société et au bien-être des personnes âgées.
Près de 40 000 postes supprimés depuis 2002. Les facteurs et factrices de La Poste sont moins nombreux pour des tournées toujours plus longues et minutées. Au risque de fragiliser les liens de proximité et de confiance tissés avec la population, malgré les “services de proximité humaine” récemment mis en place par le groupe.
Dans une société de plus en plus vieillissante, l’adaptation de l’économie pour intégrer les personnes âgées est essentielle et elle a même un nom : la silver économie. Cinq questions à Mélissa Asli-Petit, docteure en sociologie spécialisée sur la thématique du vieillissement pour résumer les enjeux de ce secteur.
